Applications pour la gestion de projet
La gestion de projet est un art plus qu’une science. Les erreurs de débutant sont nombreuses. La plus fréquente est de sur-planifier tous les détails. Personne n’aura le courage de remettre à jour le plan détaillé quand tout change. Et tout change tout le temps, plus que prévu. Un autre piège est d’utiliser les méthodes de l’industrie ou du bâtiment pour des activités ‘de bureau’. Les dépendances et la gestion de capacité stricte de l’industrie s’accordent mal aux activités de ‘col blanc’. La productivité est beaucoup plus élastique sur ce type d’activités, et les dépendances permettent souvent des recouvrements.
Des situations particulières
Les responsables de projet implémentent des méthodes différentes en fonction du contexte. Sur le terrain, les méthodes varient d’abord en fonction de la taille de l’activité. Des organisations de plusieurs centaines de personnes ont évidemment des méthodes différentes de petits groupes de 5 à 10 personnes. Suivant la situation, la direction financière, la hiérarchie et parfois les clients demandent des rapports spécifiques, dont une majorité sont des obligations légales ou contractuelles. Chaque projet gère un certain type d’activités qui lie, de sa façon particulière, les coûts et les ressources. Et la cerise sur le gâteau est la complexité spécifique des contextes internationaux ou des activités menées conjointement par plusieurs sociétés. Tout cela change fondamentalement la façon dont la gestion de projet est réalisée.
Vous trouverez de nombreux consultants pour vous dire le contraire, mais une majorité de cette complexité est légitime et inévitable.
Une communauté dispersée mais importante
La gestion de projet n’est pas l’activité principale d’une entreprise. Elle est souvent moins importante que la direction technique, les usines, et la finance. Et les gestionnaires de projet sont saupoudrés sur plusieurs directions, sans avocat au comité directeur. Mais ils représentent typiquement de 2 à 5% des employés. Dans une entreprise industrielle moyenne de 5000 personnes, plusieurs centaines de personnes ont comme activité principale la gestion des coûts, des livrables et des budgets. Et ils travaillent presque tous dans des outils Office. Sur un projet complexe, on peut avoir des fichiers complexes avec des macros écrits par des stagiaires partis depuis longtemps. Des dizaines de versions différentes peuvent circuler en permanence.
La quête futile de l’outil parfait
Beaucoup ont essayé d’avoir un outil propre, avec un taux de succès faible. Il existe des outils de gestion de projet standards qui peuvent bien marcher sur des activités simples. Pour des activités complexes, il leur manque de nombreuses fonctions, et ces outils ne peuvent pas facilement être adaptés. Si vous cherchez bien sur les étagères de votre direction informatique, vous y trouverez certainement un gros paquet de licences d’outils de gestion de projet qui ne sont pas utilisées.
Certaines sociétés ont essayés de développer leurs propres outils, en rencontrant des difficultés. Très souvent, ces outils sont seulement l’endroit où il faut copier les données le vendredi soir pour le chef avant de partir en week-end, et en râlant, cela va de soir.
Une difficulté majeure de la réalisation d’un tel outil est l’ergonomie. L’idéal est une ergonomie de type d’outil Office, et c’est très difficile à réaliser. Ces dernières années, tout le monde s’est concentré sur des ergonomies simples de type mobile, il est très difficile de trouver les bonnes compétences pour des outils qui ‘brassent des données’.
Les outils spécifiques manquent aussi souvent de fonctions. Les processus de gestion de projet sont complexes, et un projet informatique réalisé de façon traditionnel sera souvent trop cher pour les budgets disponibles. D’autant que la mise en place de tels outils manque souvent de coordination et d’un sponsor fort, la gestion de projet n’étant pas porté par un membre précis du comité exécutif. Et c’est comme cela que l’on met en place une demi-solution à peine utilisable, et entourée d’un océan de fichiers Office. C’est le fameux outil ‘pour faire plaisir au chef’.
Osez le sur-mesure
Les solutions de développement rapide de type low-code peuvent être une solution. Elles permettent de construire des applications rapidement en assemblant des briques existantes, ce qui réduit des coûts. Open Lowcode permet tout cela. Il est open-source, ce qui réduit les coûts au strict minimum. Open-Lowcode se spécialise sur la « vie réelle », il dispose d’un outil d’import / export depuis des tableurs (spreadsheet), des composants pour éditer des montants efficacement, et aussi un moteur qui permet de créer des rapports à la façon des tables pivots. Tout ceci est disponible dans un environnement industriel qui garantit la sécurité, l’intégrité des données, et la montée en charge. Ce n’est pas un hasard que la moitié des applications développées avec Open Lowcode le soient dans ce domaine. Si vous cherchez un meilleur outil de gestion de projet, discutons-en.